Émile : des traces de sang retrouvées, les enquêteurs font une terrible découverte




Le 13 mars dernier, les enquêteurs de la brigade de recherches de Marseille, en charge de l’enquête sur la mort du petit Émile, se sont présentés devant le maire du Haut-Vernet et ses administrés. Rapidement, les gendarmes se sont dirigés vers la chapelle Saint-Martin, située dans le hameau.

Ce n’est que plus tard qu’ils sont repartis en ayant pris soin d’emporter une grosse jardinière, installée près de l’édifice religieux. Selon des sources concordantes, évoquées par BFMTV, ce bac de fleurs pourrait contenir de nouveaux indices.

En effet, “une ou plusieurs traces éventuelles de sang ont été détectées”, rapportent nos confrères. Des traces de sang qui rapprochent un peu plus les enquêteurs de la vérité ?

Toujours selon nos confrères, il faut maintenant que les experts médico-légaux déterminent si ce sang est bien celui d’un humain, ou bien celui d’un animal.

Si son origine est humaine, de l’ADN sera extrait afin de le comparer aux deux profils génétiques inconnus retrouvés sur les vêtements et les ossements du petit Émile.

Pour l’heure, les analyses de la jardinière se poursuivent au sein de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) à Pontoise. Du côté des enquêteurs, une piste semble être privilégiée : celle de l’intervention d’une tierce personne.

“Qu’il y ait un auteur, cela ne fait quasiment plus aucun doute. A-t-il volontairement porté atteinte à l’enfant ou involontairement ? C’est impossible à dire pour le moment. Mais qu’il puisse y avoir une intervention humaine, ça, c’est désormais fort probable”, assurait une source proche de l’enquête à BFM DICI.
